mypaintings2014

par Debra N. Mancoff Divertissement | Oeuvre
Décès de Claude Monet

Matin faisait partie des Grandes Décorations de Monet.

Les dernières années de la vie de Claude Monet ont apporté crise et de changement. En 1909, Alice a développé une leucémie myéloïde, et, quand son compagnon dévoué est mort le 19 mai 1911, Monet était inconsolable. L'année suivante a plus écrasant nouvelles: La difficulté avec sa vue qu'il avait longtemps rejeté comme la fatigue oculaire a été diagnostiqué comme la cataracte doubles. Fearful d'avoir sa vision radicalement changé, Monet a refusé de subir l'opération recommandée jusqu'en Juillet 1920.

Après un combat avec la dépression qui l'a empêché de la peinture à partir du moment de la mort d'Alice jusqu'en 1913, Monet à nouveau trouvé la consolation dans son jardin et le but dans son travail. En Avril 1914, il a informé Geffroy qu'il était prêt à prendre sur certains grands tableaux.

Don à la Nation

Au cours de la prochaine décennie, Monet a travaillé sur une échelle sans précédent: les pieds toiles environ six ans et demi de haut et 14 pieds de large. En 1916, il a construit un nouveau studio pour abriter les images épiques de ses nénuphars et, en 1918, pour honorer l'armistice de la Première Guerre mondiale, il a promis les peintures comme un cadeau à la nation. Il a peint plus de 40 panneaux pour ses décorations Grandes, et, au printemps de 1925, il a choisi 22 d'entre eux pour être installé dans deux salles ovales Musée de l'Orangerie à Paris. Il imaginait l'effet que d'être entouré par la beauté naturelle de son jardin d'eau, apaisant les nerfs et calmer l'esprit.

 

claude monet walking near argenteuil

Claude Monet Paintings est mort de la sclérose pulmonaire, le 3 Décembre 1926, à l'âge de 86. Il a laissé des instructions pour un enterrement simple, et le seul hommage sur son cercueil était une gerbe de blé. Il avait créé son propre héritage dans la peinture de la "vue reposante de ces eaux tranquilles" qui préservaient l'expérience de sa vie longue et productive, a passé la poursuite des impressions fugaces de la nature à travers le testament de son pinceau.
Monet a laissé un vaste corps de travail pour être admiré et aimé. Nous allons présenter les peintures de Claude Monet dans la section suivante.

 

En 1991, George Rodrigue a ouvert la Galerie Blue Dog à Carmel-by-the-Sea, Californie. Le village d'un mile carré comprend gîtes, restaurants, boutiques et galeries, tout descendant vers l'ouest, vers la plage et l'océan Pacifique.

    "Je suis allé Carmel souvent alors qu'il était étudiant à l'Art Center College of Design à Los Angeles dans les années 1960», se souvient Rodrigue. "Aussi longtemps que je me souvienne, il était mon rêve d'ouvrir une galerie dans la communauté de cet artiste en bord de mer."

(Photo, Carmel Édition I, 1991, édition Sérigraphies 90, 35x26 pouces-)

Dans le style Louisiane Rodrigue, la galerie a ouvert avec l'aide de son bon ami, le chef Paul Prudhomme, qui a nourri des centaines, ou peut-être des milliers, de Californiens désireux lors d'une fête si populaire que les lignes enroulées autour de notre bloc. Nous avons reçu des demandes de réservation pour les mois plus tard, que les gens confondent l'arrivée d'un artiste Cajun avec l'arrivée de jambalaya et étouffée. Nous avons jeté les fêtes costumées au Mardi Gras et Halloween, avec George et ses garçons habillés comme les Blues Brothers, tandis que Sandra (voir ci-dessous) et je habillés chats colorés.

Outre-et-Gretel type Hansel chalets et des rues étroites, bordées d'arbres, une partie du charme de Carmel est son intemporalité, y compris un manque d'adresses. En 1991, après avoir jamais vu la côte ouest, je transféré de la Galerie Rodrigue de la Nouvelle-Orléans et vécu pendant six ans dans une petite maison sur le côté est de Guadalupe Street, entre 4ème et 5ème Avenue. Sans besoin d'une voiture, je suis tous les jours les dix blocs de Galerie Blue Dog, arrêtant en chemin pour rendre visite à des amis, detouring entre le café, le marché, et de la plage.

(Photo, Poney Monroe et je remémorent en 2013 à Rio Grill Carmel sous un George Rodrigue original, peint sur le mur en 1993, pendant des années, poney propriétaire d'un salon de manucure à Junipero et 5, un coin je suis passé à pied deux fois daily-)

La Galerie Blue Dog originale a ouvert en 1991 sur le côté sud de la 6e Avenue entre Lincoln et Dolores Streets. Le cabinet d'un ancien médecin, l'espace était longue et étroite, avec une petite fenêtre. A l'époque, elle était la seule option disponible dans la destination du tourisme populaire. Un bloc de la rue principale de Ocean Avenue, l'espace étrange nous convient bien pour de nombreuses années, nous avons rejoint les galeries d'artistes appartenant et entreprises familiales qui ont cimenté le charme de Carmel.

(Photo, George Rodrigue est titulaire d'un moule de lapin en chocolat du magasin de bonbons maman-et-pop qui a fonctionné pendant des années dans la rue de son premier emplacement de la galerie Carmel; le signe Galerie Blue Dog originale pend aujourd'hui sur le mur extérieur de notre studio / home , Carmel Valley; Août 2013-)

Je l'ai décrit notre côté de la rue comme "Fleurs, fruits, des chiens, des canards et des Fées," avec des fleurs roses de Lilliana Braico, de style Renaissance de Loran Speck natures mortes, contemporain Blue Dogs de George Rodrigue, canards en bois sculpté à la main de la Decoy, et Lynn Lupetti de créatures et de fées délicates.

En fait, Jenny Johnson, qui travaille aujourd'hui à plein temps à Rodrigue Studio à Carmel, a d'abord travaillé dans l'entreprise de sa famille, The Decoy, et plus tard pour la Lynn Lupetti Gallery, à la fois à l'origine sur notre bloc.

(Photo, Jenny Johnson à Rodrigue studio, maintenant situé sur Dolores Street, entre l'océan et le 7, Carmel-by-the-Sea, 2013; cliquez sur la photo pour agrandir-)

Il était à Carmel ce fameux Loup-garou de Rodrigue premier pendu par mon bureau, la vente en 1993 et ​​de trouver son chemin, des années plus tard, de nouveau à moi. En 1992, je me trouvais dans la ligne au Carmel Drugstore pour de multiples copies de The Wall Street Journal mettant en vedette un chien bleu esquissé sur la première page. Et en 1993, à la suite Absolut Louisiane et Absolut Rodrigue, il était à Carmel que je été témoin de changement de la population de «Qu'est-ce avec ce chien?" À "Hey! Je sais que chien! "

Également au cours de cette période, Mary Threadgill est venu travailler pour la galerie. Un gemmologiste certifié, Mary et son défunt mari, Burney, étaient des résidents de longue date Carmel qui ont soulevé leur famille ici tout en me traitant comme leur propre.

(Photo, Mary Threadgill célèbre vingt ans avec Rodrigue studio, Carmel-by-the-Sea, 2013; cliquez sur la photo pour agrandir-)

Dans Carmel je travaillais depuis le début avec Sandra Crake, originaire de Baton Rouge par l'intermédiaire de l'Arkansas et le Texas, qui est resté en Californie jusqu'en 2011, quand elle est revenue à la Louisiane. Aujourd'hui, elle travaille à Rodrigue Studio à La Nouvelle-Orléans, embrassant, même si elle manque le village pittoresque et lumière dorée de Carmel-by-the-Sea, la nostalgie qui accompagne ses racines du sud et la proximité de la famille.

(Photo, avec Sandra Crake, en rose, et sa fille Caress Crake Threadgill, extrême droite, à la Mad Hatters Déjeuner en profitant de la Symphonie League Baton Rouge, 2011; également représenté, Mad Hatter et retraités Baton Rouge coroner, Hippolyte Landry-)

En 1998, George Rodrigue est devenu, encore une fois, l'agent-libre et propriétaire de ses galeries. Un changement de nom accompagné de la légalité, et à la Galerie Blue Dog est devenu Rodrigue Studio. En 2009, il a déménagé sa galerie Carmel à un endroit, il regarda pendant des années, abandonnant le bureau de l'ancien médecin pour un espace d'exposition plus grand et plus lumineux.

(Photo, Carmel Edition II, 1996, édition Sérigraphies 90, 25x21 pouces-)

Aujourd'hui, je canaliser les premières années comme mes «temps anciens», rappelant nos premiers clients, des factures manuscrites, et les déplacements quotidiens à Carmel Camera Center. Je rehung la galerie de nombreuses soirées, en imaginant le lendemain matin, alors que je marchais de Guadalupe à Dolores, que je rencontrais l'art de George pour la première fois. Si je ne cessais, stupéfait, je tirais les peintures des murs, a attrapé l'échelle et le marteau, et a commencé à nouveau.

Paintings for sale

(Photo, George Rodrigue avec Jenny Johnson et Mary Threadgill à Rodrigue studio, Dolores Street, entre l'océan et le 7, Carmel-by-the-Sea, été 2013, cliquez sur la photo pour agrandir-)

Je me souviens avec sentiment, mais sans désir, la galerie machine lourde, avec Sandra et mon excitation sur le nouveau 'roll' machine de fax et de la manière, comme l'a dit Sandra, nous "debout sur nos têtes» à la galerie étage, finagling un 6 pieds rouleau élevé de papier bulle et l'assemblage des caisses en bois. Pendant tout ce temps, nous avons adhéré à notre auto-imposé Galerie des années 1990 la mode: les jupes courtes, hauts talons, et de grands cheveux.

George Rodrigue et moi datées à Carmel entre 1993 et ​​1997, lorsque nous nous sommes mariés et retournés vivre en Louisiane. Nous avons gardé une maison sur la péninsule de Monterey depuis, visitant souvent au fil des ans et de retour au printemps dernier, indéfiniment.